Ca ferraille à l’Assemblée..
La gauche n’en finit pas de s’agiter, elle ferraille sur tout et n’importe quoi, mais surtout pour occuper le terrain et se faire valoir auprès de son électorat par son agressivité. Comme elle n’a aucune proposition à faire, sauf de brailler à tue-tête et de crier au charron à chaque proposition du gouvernement, auquel on ne peut pas reprocher de ne pas essayer de trouver de solutions.
J’ai comme l’impression que c’est toute la carriole de la gauche qui verse dans le fossé de ce côté de l’Assemblée.
Je ne vois pas où se trouve le scandale en envoyant en apprentissage des jeunes qui, à 14 ans, ne sentent plus capables de suivre des cours. Soit ils empêchent les autres d’évoluer correctement lorsqu’ils ne sont pas à glander en séchant les cours.
Autant qu’on les oriente vers des filières plus favorables à leurs goûts. A une époque, l’apprentissage était une filière normale en fin de scolarité pour ceux qui n’avaient goûts ou les moyens intellectuels de poursuivre un cursus.
Il était dommage pour certains, qui avaient ces capacités, de ne pouvoir poursuivre davantage dans le cursus scolaire.
Mais quand vous avez un intello, Enarque et professeur de surcroît (excusez-moi du peu) déclare que la France doit avoir un pourcentage minimum de réussite au baccalauréat, soit 80% ???; . Autant de démagogie me laisse pantois et on se demande jusqu’à quel point on peut prendre les gens pour des imbéciles.
Même dans les meilleurs crûs de nos vignobles, on ne peut espérer un pourcentage de millésime aussi élevé.
Le travail manuel est autant gratifiant et souvent plus que la « masturbation méningée » de certains intellectuels.
Voyez dans le travail d’un artisan la somme de connaissances qu’il faut souvent avoir en plus d’une dextérité manuelle. Et ceci dans de nombreuses professions.
Lorsque l’on sait à combien tombe les moyennes dans certains lycées pour que le « quota » d’intellos bacheliers soient respectés. Tous ceux qui se prêtent à ce jeu sont franchement abjects car ils donnent de fausses illusions.
La plupart pensent que l’université leur est ouverte mais se plante au bout d’un an et se retrouve dans une impasse. De plus cela handicape ceux qui ont les facultés de pouvoir poursuivre un cursus plus étoffé. Beau calcul à vue courte. Malgré tous les problèmes que cela créé, l’inventeur de cette mascarade est toujours autant fier de son invention.
Dans un temps ancien, où le « certif »CEP existait, cela n’a pas fait que des imbéciles.
Même en leur donnant gratos le diplôme, certains ne sont pas formatés pour pouvoir en tirer quelconque avantage.
Dans mon entourage j’ai l’exemple flagrant d’un jeune que les études « gonflaient » et qui était limite révolté et penchait vers la délinquance. Il a choisi une alternance école professionnelle et stage en apprentissage. Sa métamorphose a été spectaculaire Il est à présent artisan prospère et heureux. Comme il disait, étudier pour étudier.. c’est pas mon truc. Mais étudier pour quelque chose de concret.. je sais à quoi cela sert et où ça me mène. Il y a des raisonnements formatés pour le concret ou abstrait.
Faudrait-il peut-être le savoir et en tenir compte messieurs les responsables au cursus intello. On ne vous apprend pas les réalités de la vie de votre cheminement. ?
Je pense surtout à un syndicaliste de l’éducation national (toujours le même), un monsieur je sais tout. Particulièrement contre l’apprentissage qu’il décrit comme un abaissement, une amputation de chances, une voie de garage.
Celui-la, chaque fois que je l’entends ou le vois, j’ai droit à mon urticaire.
Mais monsieur, puisqu’il vous dit qu’ils s’en moque de vos études, soyez assez responsable pour le guider sur une voie où il pourra s’épanouir. Ne l’obligé à glander et partir à la dérive parce qu’il ne rentre pas dans votre moule. L’apprentissage en atelier ou en entreprise est préférable à l’apprentissage de la rue.. CQFD !.
J’ai une pensée toute particulière pour ces instits de la communale et pour ces profs qui s’évertuent encore dans cette pétaudière qu’est devenue l’Education nationale.
Les vrais, les purs de Jules Ferry. Ceux qui faisaient un sacerdoce de l'éducation des mômes.
La discipline était présente mais également beaucoup d'attention et parfois un peu de tendresse, pour nous, les mômes turbulents.
Maintenant, même leur tendresse est devenue suspecte. Et la sécurité de l'emploi a souvent remplacé le sacerdoce.
Si c’est ça le progrès et l’évolution normale de la société.. il serait bon de passer en marche arrière au lieu de cette fuite en avant.
Mais je pense aussi, que les profs ne sont pas les seuls à avoir baissé les bras. Y a qu'à voir à la télé l'étalement d'une nouvelle race de parents… c’est cauchemardesque !!!
Il faut que nous les "drivions" nos mioches pour ne pas les voir basculer dans la connerie ambiante. Et un coup de pied au c.., si nécessaire, remet bien souvent les idées en place.
Maintenant que les politiques se servent de ces problèmes pour se positionner politiquement pour contrer la partie adverse, je trouve cela L A M E N T A B L E.
L’arrivisme et les plans de carrière dans la politique ont leurs limites. Si vous ne les connaissez pas, faudra bien à jour à vous les rappeler.
Mais comme le dit quelqu’un dans le poste.…..vous savez ce que j’en dis…… ce n’est juste que mon avis.
Le Mistigri.
Bonne journée à tous.