Quelques apartés.. histoire d’en rire.. jaune.
Est-ce vraiment une nouvelle de vous dire que les fonctionnaires nous font la surprise d’être en grève et en ballade dans nos rues.
Bien évidemment l’Education Nationale et la FSU en tête. Ils nous fabriquent tellement d’ ânes que s’en est à se demander comment ils s’y prennent pour nous en élever autant en étant si souvent hors de l’école.
-* Avez-vous remarqué que cette grève aurait pu se passer hier mercredi. Pensez-vous, c’était jour de repos, et puis il fallait motiver les élèves.. quoi de mieux que de les appâter en leur faisant sauter un jour de classe. C’est cela le service public. ( on n’a jamais précisé qui il servait davantage ). Peu importe que les mômes perdent une journée de cours.
-* Ce sont les mêmes qui, lorsque des grèves se prolongent, ont le culot de demander à ce que les jours de grèves leur soit payés. Ils doivent confondre jours de grève et jours chômés. Cela s’appelle avoir le courage de ses responsabilités.
-* C’est comme pour les stages de perfectionnement et d’évolutions des profs. Pourquoi doivent-ils se faire dans l’emploi du temps imparti aux élèves. Comme cela doit amener à une promotion, il serait plus normal que ces mises à niveau soient prises sur le temps de vacances, qui ne manquent pas tellement dans l’éducation Nationale et de ne pas pénaliser les élèves par l’excès d’absentéisme avéré.
-* Raisonnement « primaire » d’un ancien de la communal d’avant mai 68 : Si dans une classe vous avez des élèves qui ne peuvent pas suivre parce que tout simplement ils ne maîtrisent pas la langue française, n’allez surtout pas leur dire, qu’au lieu de tirer la classe par le bas et de décourager ceux qui veulent apprendre, il serait plus judicieux d’instaurer des classes préparatoires afin d’inculquer les éléments basiques pour le compréhension de notre langue.
Alors attendez-vous à être taxé de ségrégationniste ou de raciste ( expression à la mode : si vous n’aimez pas le couscous, c’est que vous n’aimez pas les arabes.. donc vous êtes raciste ).
-* Réflexion, faite à la suite d’un débat ce matin sur une chaîne de radio, concernant la parution dans un ex-grand quotidien de caricatures concernant Mahomet, le Prophète des musulmans. J’ai été assez consterné par les propos du directeur et « journaliste » de ce quotidien, qui sous le prétexte de liberté de la presse se sentait autorisé de pouvoir dire tout n’importe comment sur n’importe qui et n’importe quoi. Ceci exprimé dans un ton et des propos agressifs guère rassurants pour quelqu’un qui est en place pour « manier » l’opinion.
Ces caricatures ne sont pas de l’information pour un journal d’infos tel que se prétend l’être ce quotidien national. J’appelle cela de la provocation gratuite, pire encore un coup de pub de très mauvais goût. Aux dires du directeur de ce journal, celui-ci est au bord de la faillite, pas étonnant, ceci peut expliquer cela.
Ces caricatures auraient été prises au second degré en étant éditées dans un journal satyrique tel Charlie Hebdo.
Ce quotidien pouvait certainement trouver des allégories sur d’autres thèmes pour savoir si la liberté de la presse était respectée en France.
Il en va de l’honnêteté et de la crédibilité des journalistes. Bien beau d’enquêter sur celle des politiques. Il faudrait par commencer à balayer devant sa porte avant de faire ses choux gras des avatars des autres.
Certains devraient penser à la responsabilités de représentation car ils peuvent être interprétés comme un mouvement d’opinion nationale à l’étranger.
Non plus de s’arroger le droit de publier des informations non contrôlées comme il l’est trop souvent fait depuis quelques années.
On n’est plus dans l’information lorsqu’on est dans la provocation, voir dans l’agitation. Non plus un journaliste responsable lorsqu’on ne sait pas maîtriser l’impact des choses que l’on divulgue dans un contexte particulier.
Il n’est pas question de crier à la censure, mais à une honnêteté intellectuelle et au respect d’une éthique que devraient faire respecter les gens de cette profession.
La question qui se pose, ce n’est pas la liberté de la presse mais plutôt la bêtise dans la presse.
A qui cela sert-il de blesser gratuitement autrui ou n’importe qu’elle croyance qui soit.
L’intégrisme NON mais la liberté n’importe comment dans l’irrespect des autres NON plus.
La liberté d’expression dans le respect des convictions.
A vous messieurs les journalistes de laver votre linge sale en famille et ceci sans concession si vous voulez être considérés comme vous aimeriez penser l’être encore.
Si vous avez quelques apartés à développer merci de me les faire connaître.
Mais comme le dit quelqu’un dans le poste.…..vous savez ce que j’en dis…… ce n’est juste que mon avis.
Le Mistigri.
Bonne journée à tous.