Fallait s’y attendre.. ça déborde..
« Y EN A MARRE »
Si on n'est pas encore dedans… ça va plus tarder
Après quelques jours de recul, en observant de loin les évènements, l’appropriation par les pros de la politique et des syndicats qui ont repris à leur compte le mouvement des jeunes, ne fait plus aucun doute.
Ce n’est pas les dénégations de l’égérie médiatique des étudiants, « Charlotte je sais tout… j’ai tout vu » (à 17 ans.. excusez du peu) qui pourra le nier, malgré ses certitudes et ses allégations agressives diffusées sur les médias.
D’ailleurs elle paraît d’avantage représenter un mouvement d’extrême gauche tellement son argumentaire concernant le CPE est faible.
Ce n’est pas le CPE qui créé la précarité, mais la situation économique du Pays., et ce ne sont pas ces grèves à répétitions qui vont faire que cela va s’améliorer.
Une certitude qui ressort de tous les argumentateurs, c’est leur désir de voir le gouvernement baisser les bras ; le CPE en est que le prétexte.
On a eu qu’une seule émission « A vous de juger », complètement ratée, qui a essayé d’aller au fond du projet.
Apparemment très peu semblent connaître le réel contenu du CPE et de ses réels effets.
Certains journalistes semblaient ce matin faire leur mea culpa pour avoir un peu trop épaissit le trait mis sur les anti CPE, et d’avoir négligé ceux qui étaient pour. Egalement les étudiants qui voulaient qu’on leur rende leur liberté de pouvoir reprendre les cours.
Ils fallaient souligner ces journalistes, laissant tomber le sensationnel, pour une narration plus honnête et équilibrée des évènements.
On a retenu qu’un seul point négatif qui a été monté en épingle par les agitateurs politiques et syndicaux habituels. De la part de certains, la diabolisation est devenue leur seule forme d’expression à défaut de toutes propositions.
On a pu constater que leurs émules sévissaient dans pas mal d’universités, se comportant déjà comme de petits dictateurs, sans respect aucun pour cette démocratie qu’ils sont toujours entrain de mettre en avant pour justifier leurs propos ou excuser leurs débordements.
Mais delà à ce que ces syndicats d’étudiants qui, non seulement pose des ultimatums au gouvernement mais, exige maintenant la démission de ce même gouvernement.
Ca sent un peu trop l’encadrement de diverses cellules gauchistes.
Là, nous commençons à marcher sur la tête, une fois de plus. Renvoyons toutes cette jeunesse à ses chères études et qu’elle apprenne un peu la vie réelle, non pas à travers des théories fumeuses, mais sur le terrain, dans la réalité de chaque jour en prenant soin de ne pas regarder que d’un côté seulement.
Quelle planche d’envol pour les gauchistes qui, sans vergogne ni retenue, s’envolent déjà vers les présidentielles sur la base du CPE. Leur présidente veut la rejouer « union de la gauche ». Evidemment, avec 3,5% des voix, elle doit bien cela aux socialistes qui ont fait que sa formation puisse être représentée à l’Assemblée alors qu’il fallait en obtenir 5%.
Certains autres, avec 17%, sont restés à la porte. Il faut dire que la droite s’est faite piéger dans la dialectique « Mitterrandienne », et que complexée, elle en a fait le jeu. Cette précision est davantage faite par question de principe démocratique que par un partage d’idées. Mais aussi pour dire que tout le monde s’arrange bien de la démocratie dans notre pays qui apparaît de plus en plus, avec des manières de république bananière.
Dans la cacophonie actuelle, il est à espérer que le gouvernement tienne la rampe car sinon s’en est finit, pour un sacré bout de temps, de l’autorité de l’Etat. Que ceux qui sont à l’origine de l’effervescence actuelle s’en inquiètent par avance s’ils devaient revenir aux affaires. Ils se préparent un bel avenir et pour nous tous de drôles d’horizons.
Il n’y a qu’à voir dans les régions passées à gauche l’augmentation des impôts. Commençons alors, à ’envisager, vers quel sommet, la dette du pays va s’envoler. Sous l’excuse du social, on balance gaillardement l’argent du contribuable à la « grouille ». Venez, venez, accourez, ici on rase gratis… du moment que tu prends la carte.. On n a pas encore trouvé un conciliateur pour pallier au désendettement. Où est le bon sens de la ménagère… de plus de 50 ans…
Saint Talbin priez pour nous…
Mais comme le dit quelqu’un dans le poste...vous savez ce que j’en dis…… ce n’est juste que mon avis.
Le droit de réponse est bien sur de droit et de mise dans cette lettre ouverte. A vos commentaires et bonne journée à tous.
Le Mistigri.
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